Le Prospero dans les médias

Philippe Cyr en entrevue avec L’heure où l’arc-en-ciel se lève, 3 mars 2025.

« Ce qu’on essaie de faire, c’est d’avoir une réflexion sur la limite des choses. Dans la programmation, que ce soit à travers nos créations, dans les spectacles en accueil, on essaie de questionner la limite, de voir comment se transpose la transgression, entre autres, dans le choix de nos projets. On va questionner des sujets qui sont parfois extrêmement complexes à aborder […] qui pourtant posent des questions essentielles sur qui nous sommes en tant que société. »


Philippe Cyr en entrevue avec Le 15-18, 19 février 2025.

« Au lieu de s’adresser toujours au même petit bassin d’irréductibles qui sont des passionné·es des arts de la scène, [Les reprises permettent de s’adresser à] tou·tes les autres qui viennent moins souvent et qui ont besoin d’un rapport de confiance un peu plus élevé. »


Vincent de Repentigny en entrevue avec Le 15-18, 28 janvier 2025.

« Pour nous, c’était important que les gens viennent au Prospero et aient envie de prendre ce risque artistique-là, de voir des œuvres qui pouvaient vraiment les déstabiliser, sans être dans un rapport de ‘est-ce que j’ai payé trop cher pour ça’ »


Philippe Cyr en entrevue avec la Revue Jeu, 27 janvier 2025.

« La pandémie a mis en lumière des enjeux de surproductivité, voire de surexploitation des ressources humaines et matérielles. Devant cet état des lieux, des changements s’imposent et prolonger la durée de vie des œuvres est un geste simple et nécessaire. Certaines œuvres remarquables méritent de rejoindre un plus vaste public. Toutefois, j’y vois des avantages qui dépassent la question économique ou écologique, en particulier autour de l’idée d’une expérience acquise collectivement. Plus nous serons nombreux et nombreuses, artistes et publics, à côtoyer ces œuvres, plus nous acquerrons un bagage collectif susceptible d’influencer positivement le développement de la pratique »


Vincent de Repentigny en entrevue avec Aux Quotidiens, 13 novembre 2023.

« On connaît plusieurs personnes autour de nous pour qui [la capacité d’acheter un billet de théâtre] n’est pas une question d’âge en fait : c’est une question de revenus, de moyens… Avec Philippe Cyr, on se disait : le but est que les gens puissent prendre des risques artistiques, pas financiers. »


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