La pierre

Quatre ans après la chute du mur de Berlin, trois générations de femmes allemandes reprennent possession de leur maison familiale. Cette réappropriation fait surgir les souvenirs et les fantômes liés à l’histoire d’une famille et d’un pays.

La pierre n’est pas une pièce historique mais une œuvre sur la mémoire et la façon dont elle tisse les légendes familiales et nationales. Elle soulève des questions sur notre identité et notre histoire à tous.

Ce laboratoire d’exploration autour du texte La pierre de l’Allemand Marius Von Mayenburg sera dirigé par Joël Beddows. Il constitue la première étape d’une série d’échanges entre les créateurs de deux structures théâtrales de la francophonie canadienne — le Théâtre français de Toronto et Le Groupe de la Veillée — sises dans les deux grandes métropoles culturelles que sont Toronto et Montréal.

À l’issue de 40 heures de travail intensives de répétition, une présentation publique sera donnée le 5 mai à 15 h.

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UNE INITIATIVE DU THÉÂTRE FRANÇAIS DE TORONTO ET DU GROUPE DE LA VEILLÉE

Établir un corridor d’échanges entre les créateurs de deux structures théâtrales de la francophonie canadienne sises dans les deux grandes métropoles culturelles que sont Montréal et Toronto : voilà le projet que Carmen Jolin et Joël Beddows, directeurs artistiques du Groupe de la Veillée et du Théâtre français de Toronto, souhaitent concrétiser.

La première étape sera marquée par la tenue d’un laboratoire théâtral qui se déroulera au Prospero entre le 24 avril et le 4 mai prochains et se clôturera, à l’issue de 40 heures de travail intensives de répétition, par une présentation publique le 5 mai.

Ce lien établi entre des institutions théâtrales des deux villes manifeste une ouverture commune à l’altérité, à la différence, au partage des expériences ; il ouvre la porte à des échanges larges et diversifiés.