21 janvier au 8 février 2014
Résumé
Personne ne sait pourquoi Feuerbach, comédien d’âge mûr, n’est pas monté sur scène depuis plus de sept ans. Mais aujourd’hui, il est entendu en audition. Il est prêt. Et il prouvera qu’il sait camper n’importe quel personnage en virtuose. Cette audition s’avèrera la plus longue de sa carrière et derrière l’armure pathétique de son orgueil, on découvrira la fragilité d’un être que le métier d’acteur a dépouillé de son identité. Feuerbach : homme sans emploi, trop vieux ou passé de mode, trop fragile pour être un battant, trop orgueilleux pour s’avouer vaincu.
« Production magnifiquement ouvragée et dirigée par Téo Spychalski, Moi, Feuerbach est un spectacle qui a de l’âme. Beaucoup d’âme. C’est aussi une rencontre unique et merveilleuse entre un grand rôle et un acteur d’exception. Un grand moment de théâtre. » — L. Boulanger, La Presse, 22 janvier 2014
«Le rôle d’une vie. […] Dans la peau d’un acteur vieillissant, qui perd peu à peu la mémoire, l’usage de son corps et celui de la parole, mais aussi la santé mentale, un homme qui se voit pour ainsi dire dépouillé de toute raison de vivre, Gabriel Arcand est bouleversant. » — C. Saint-Pierre, Le Devoir, 25 janvier 2014
Durée du spectacle : 1 h 20 sans entracte
Supplémentaires le dimanche 18 mai à 16 h et le lundi 19 mai à 20 h
Production
La Veillée
De
Tankred Dorst
Mise en scène
Téo Spychalski
Avec
Gabriel Arcand, Alex Bisping, Ginette Chevalier
Scénographie
Téo Spychalski
Assisté de
Michel St-Amand
Éclairages
Mathieu Marcil
Illustration
Corinne Bève
Crédit photo
Josée Boulais
Partenaire de production
Québecor
Photos
En vidéo
Dans les médias
J’ai rarement été touchée comme ça au théâtre grâce au jeu de l’acteur, mais aussi en raison du texte qui est tellement actuel.
M. Fehmiu, Le 15-18, ICI Radio-Canada, 22 janvier 2014 Le texte de Tankred Dorst est imposant, son propos passionnant, sa construction bien pensée et son personnage principal, être dérivant qui lutte contre lui-même pour revenir sous la lumière et dévêt son âme - sans filet - en attendant, est émouvant.
A. Charpentier, Info-Culture, 24 janvier 2014 Puisse le duo Arcand-Spychalski longuement perdurer. Le spectateur est pendu aux lèvres de Feuerbach du début à la fin.
A. Brien-Legault, Artichautmag.com, 25 janvier 2014 Il dépasse toutes les attentes tant son interprétation est précise et nuancée. […] le texte magnifique de Tankred Dorst.
P. St-Onge, MonTheatre.qc.ca, 27 janvier 2014