5 au 19 février 2014
Résumé
La vie de Paul est compliquée : neuf ans, deux mamans, pas de papa, et l’irrépressible envie de devenir une Muse. Une chance qu’il y a Sunny, son baby-sitter, qui lui révèle le cinéma de Polanski et la beauté sublime de Sharon Tate. Une chance aussi que sa maman no. 2, Phoebe, lui a permis de se confectionner en cachette pour l’Halloween une merveilleuse robe de Muse ; alors que Claire, sa rêche maman no. 1, lui a imposé un costume de cochonnet. Or, le soir de l’Halloween, au moment où le cochonnet va se métamorphoser en Muse, Paul disparaît dans la nuit noire, laissant ses deux mamans dans un profond désarroi.
Après Simon a toujours aimé danser, Qu’est-ce qui reste de Marie-Stella? et Martine à la plage, Simon Boulerice aborde, avec cette nouvelle création, la question de la foi.
Durée du spectacle : 1 h 15 sans entracte
Supplémentaire le dimanche 16 février à 16 h 15
Production
Abat-Jour Théâtre
De
Simon Boulerice
Mise en scène
Gaétan Paré
Avec
Marie Charlebois, Violette Chauveau, Gabriel Szabo, Philippe Robert, Marie-Laurence Moreau
Assistance à la mise en scène et régie
Alexandra Sutto
Scénographie
Clélia Brissaud
Direction technique
Alexandre Paquet
Éclairages et direction de production
Marie-Aube St-Amand Duplessis
Crédit photo
Jean-François Poisson
Dans les médias
Ensemble, Simon Boulerice et Gaétan Paré créent une montée dramatique intéressante, qui nous tient en haleine.
J. Siag, La Presse, 10 février 2014 Violette Chauveau joue une irrésistible et exubérante mère (…) Marie Charlebois joue la mère biologique rigide intraitable devant un Gabriel Szabo lumineux dans le rôle du petit Paul (…) C’est à voir !
F. Grimaldi, Samedi et rien d’autre, ICI Radio-Canada Première Paré a surtout su diriger de main de maître sa distribution. (…) Pig se révèle un texte touffu, essentiel, qui démontre hors de tout doute que Simon Boulerice a atteint une réelle maturité.
L. Renaud, Revue JEU, 10 février 2014 On ne peut que s’incliner devant la manière dont il relie les thèmes de l’homoparentalité, de la religion, de la marginalité, de la criminalité et de l’embourgeoisement dans une finale qui a le grand mérite de ne pas donner toutes les réponses.
C. Saint-Pierre, Le Devoir, 13 février 2014 Une distribution des plus convaincantes (…) c’est tout simplement une réussite.
N. DeHan, Radio Centre-Ville L’ensemble de la distribution nous impressionne (…) PIG est une pièce rafraîchissante (…) Un très beau spectacle.
P. St-Onge, MonTheatre.qc.ca, 11 février 2014 Soulignons le jeu de Violette Chauveau et de Marie Charlebois, dont les troubles sont criants de vérité. Gabriel Szabo, en Paul, réussit aussi à nous faire croire qu’il est un enfant.
R. Léouzon, Métro, 12 février 2014