11 au 29 avril 2017
Résumé
Un garçon, seul dans le Skytrain de Vancouver, entend des coups de feu. En une fraction de seconde, l’action se rejoue sous tous les angles possibles dans son esprit pétri d’images hollywoodiennes, recréant peu à peu une scène troublante. Big Shot déconstruit avec précision la tension croissante menant à une fusillade qui porte toutes les marques d’un profilage social des plus classiques et les personnages qui y participent : un policier tirant sur un toxicomane qui tente de s’en sortir, un vieux Japonais ayant provoqué l’incident, une mère à laquelle on a arraché son fils et un mystérieux cinéaste inspiré par cet horrible évènement. — Ce spectacle est écrit et interprété par Jon Lachlan Stewart, l’énigmatique M. Zero dans Le Joueur de Dostoïevski présenté en janvier 2016 au Prospero. Depuis sa création en 2012, Big Shot a été joué partout au Canada et sera présenté, dans une version bilingue, pour la première fois sur une scène québécoise.
Durée : 1 h 30
Production
Theatre Surreal SoReal
De
Jon Lachlan Stewart
Mise en scène
Georgina Beaty
Avec
Jon Lachlan Stewart
Traduction
Mélodie Roussel
Éclairages
Audrey Anne Bouchard
Projections
Matthew Schuurman
Environnement sonore
Dave Clarke
Consultant
Paul Ahmarani
Crédit photo
Citrus Photography (Tim Nguyen)
Photos
En vidéo
Dans les médias
L’une des meilleures performances d’acteur de l’année (…) Étourdissant !
Mario Cloutier, La Presse Charismatique et expressif, dans un jeu très physique, Jon Lachlan Stewart modifie sans effort sa voix et ses postures pour se glisser dans la peau de figures très campées.
Marie Labrecque, Le Devoir Le spectacle est rempli d’une densité nerveuse et imparable à laquelle on ne peut résister (…) On redécouvre le pouvoir absolu des mots et d’une histoire.
Marie-Claire Girard, Theatrecambresis Une performance exceptionnelle (…) Sa narration se révèle captivante et terriblement efficace.
Daphné Bathalon, Montheatre Performance hypnotisante (…) Nous viennent en tête des films fragmentés comme Pulp fiction, Citizen Kane, Babel.
Jim Burke, Montreal Gazette