Salle intime

La cloche de verre

De
Sylvia Plath

Mise en scène
Solène Paré

Avec Marie-Josée Samson, Marie-Pier Labrecque

14 mars au 1er avril 2017

Résumé

Été 1953. Esther Greenwood, 19 ans, a tout pour réussir et on lui prédit un avenir heureux. Lauréate d’un grand concours littéraire, elle se retrouve à New York avec une cohorte de jeunes écrivaines de son âge. Ponctué par les réceptions futiles et les déceptions, le passage d’Esther dans la grande ville marquera le début de sa mutation intérieure. Dans un monde où le désir des femmes est condamné, Esther est divisée entre le puissant besoin d’écrire, de s’émanciper et celui tout aussi fort de se supprimer. — Sylvia Plath, l’une des plus grandes écrivaines américaines du 20e siècle, nous présente, à travers ce Hamlet moderne, une période des plus sombres de son existence.

Supplémentaire samedi 1er avril à 20 h 15

Durée : 1 h

  • Production

    Théâtre de L’Embrasure

  • De

    Sylvia Plath

  • Mise en scène

    Solène Paré

  • Avec

    Marie-Josée Samson, Marie-Pier Labrecque

  • Éclairages

    Pauline Schwab

  • Décor et conception des costumes

    Xavier Mary

  • Son

    Antonin Gougeon

  • Dramaturgie

    Suzie Bastien

  • Adaptation

    Solène Paré

  • Crédit photo

    Dominik Langlois

En vidéo

Dans les médias

  • La même finesse caractérise tous les éléments de cette production (…) On salue le nouveau trajet que Paré trace dans ce texte.

  • Cette fascinante démarche d’adaptation menée par Solène Paré s’appuie sur le jeu délicat des deux comédiennes qui bercent les spectateurs de leur voix posée et sans emphase.

  • Le duo de comédiennes habite l’espace avec finesse (…) Solène Paré y est allé d’un réel travail d’orfèvrerie avec ce texte de Sylvia Plath (…) Elle a réussi à faire d’un roman du théâtre avec liberté et pudeur.

  • Le choix de mise en scène donne une grande force à la puissance de l’écriture de Sylvia Plath (…) Il y a quelque chose qui nous aspire, nous empêche de se détacher de ce récit personnel d’une âme troublée mais lucide, tandis qu’on se laisse bercer par les mots durs de cette brillante auteure.